JARDIN BOTANIQUE DES CAYES; RÉSERVE
ÉCOLOGIQUE WYNNE FARM; FONDASYON KONESANS AK LIBÈTE (FOKAL)
RENE DUROCHER; KÉNEL DÉLUSCA, PhD sont les lauréats 2020 du « Prix de la Médaille Verte ».
JARDIN BOTANIQUE DES CAYES; RÉSERVE
ÉCOLOGIQUE WYNNE FARM; FONDASYON KONESANS AK LIBÈTE (FOKAL)
RENE DUROCHER; KÉNEL DÉLUSCA, PhD sont les lauréats 2020 du « Prix de la Médaille Verte ».
A cette occasion, plusieurs personnalités, institutions, entreprises recevront « le Prix de la Médaille Verte », pour leur contribution et leur engagement dans la lutte contre la dégradation environnementale et le réchauffement climatique.
Tout cela se fera par le biais de la production, du transport, de l’optimisation de l’utilisation et de la consommation d’une énergie propre et compétitive. Le déploiement des énergies renouvelables (EnR) et la mise en place de politiques d’efficacité énergétique à l’échelle mondiale sont donc les clés de cette transition énergétique si indispensable pour la sauvegarde de notre planète, parmi d’autres mesures à prendre… En 2017, l’industrie des énergies renouvelables totalise 10.3 millions d’emplois directs et indirects et le nombre d’emplois créés dans l’industrie des EnR a augmenté de 5.3% par rapport à 2016. Les industries solaire et éolienne terrestre représentent 59.2% des emplois du secteur des EnR. La filière solaire photovoltaïque à elle seule compte 3.4 millions d’emplois, soit 33% du total.
Des 300 millions d’arbres abattus chaque année, plus de 60 % sont destinés à la production du charbon. Le bois intervient dans la production de meubles, de produits pour la construction et l’artisanat et comme énergie de combustion (bois de feu ou bois de chauffe) jusqu’à représenter entre 300 et 400 millions de dollars de revenu annuel en Haïti.
Regardez et partagez ce reportage ô combien édifiant de Robenson SANON. Entre manque de moyens et absence de politique publique en la matière, le constat est flagrant. Des tonnes de matières en plastique agressent quotidiennement un environnement de plus en plus dégradé.
En Haïti, la crise environnementale s’aggrave à mesure que nous tardons à prendre des mesures fortes pour résoudre des problèmes identifiés il y a longtemps. Pourtant, au cours des dernières décennies, nous avons connu assez de catastrophes qui devaient nous porter à changer de comportement envers l’environnement.
Le plastique est omniprésent en Haïti. Sur les rayons de nos supermarchés, sur nos tables, dans les marchés publics, sur la chaussée comme dans nos égouts, il est partout.
On dirait même qu’il y a une surutilisation du plastique chez nous. Comme dans beaucoup d’autres domaines, l’État ne réglemente pas son utilisation. Cette manière constitue, aujourd’hui, une grande menace pour notre environnement.
Si rien n’est fait concrètement pour assurer une meilleure gestion de l’eau potable et faciliter son accès au plus grand nombre, Haïti risque dans 20 ans de se retrouver à importer de l’eau potable pour satisfaire les besoins élémentaires de sa population.
Si cette ferme est connue spécialement pour sa belle nature favorable aux pique-niques, randonnées, etc., elle est pourtant dotée également d’un centre de recherche. En 2017, des chercheurs travaillant à la ferme ont découvert une nouvelle espèce d’abeille.
Avec le support technique de l’Action pour le Climat l’Environnement et le Développement Durable (ACLEDD), la Direction des Changements Climatiques (DCC) du ministère de l’Environnement (MDE), de concert avec le ministère de la Planification et de la Coopération Externe (MPCE)) a organisé avec succès, les 20 et 21 novembre 2020, l’atelier de formation autour du thème Médias et la gouvernance du changement climatique en Haïti.