De 8000 hectares, il y a une décennie, sa superficie boisée ne dépasse pas 800 hectares aujourd’hui…Déclarée zone protégée en 1983, le Parc national la Visite est aujourd’hui livré à la merci des centaines de gens qui prennent l’espace d’assaut.
De 8000 hectares, il y a une décennie, sa superficie boisée ne dépasse pas 800 hectares aujourd’hui…Déclarée zone protégée en 1983, le Parc national la Visite est aujourd’hui livré à la merci des centaines de gens qui prennent l’espace d’assaut.
L’eau tarira complètement sur le site du parc national la Visite d’ici 2025 si aucune mesure n’est prise avec des actions concrètes en vue de stopper le déclin prononcé constaté dans cette zone protégée…
Décrété parc national en 1983 sous le gouvernement de Jean-Claude Duvalier, La Visite a vu sa couverture forestière passer de plus de 17 000 hectares à moins de 3 000 en moins de vingt ans.
Nous (re) publions ici un ensemble d’articles et de reportages réalisés par divers médias nationaux et internationaux pour alerter sur ce désastre écologique qui affecte cette réserve mondiale de la Biosphère.
« Dès qu’il commence à pleuvoir, nous sommes obligés de fermer. Il n’y a plus de clients. Les gens n’osent pas sortir à cause du niveau des eaux dans les deux principales rues de la ville [rues Sténio Vincent et Dumarsais Estimé] »
Rien que pour l’année 2020, Konbit Plastik a pour sa part collecté plus d’un million neuf cent mille (1,900.000) livres de plastiques. Les opérations de collecte sont réalisées majoritairement dans la capitale haïtienne.
Sur les 10 000 collecteurs de déchets solides près de 60% sont des immigrés sans papiers venus d’Haïti à la recherche de meilleures conditions de vie…Beaucoup d’Haïtiens vivent dans le quartier de Los Casabe à Duquesa, la deuxième plus grande des 350 décharges dans toute la République dominicaine, qui reçoit les ordures de la capitale et des cinq autres municipalités qui composent El Gran Santo Domingo.
Notre mission est de financer de façon soutenable toute activité de conservation de biodiversité et de développement durable associée en Haïti et au bénéfice de la communauté. Le FHB ouvre deux fenêtres de financement : l’une pour la biodiversité et l’autre pour l’adaptation ou la résilience au changement climatique.
Dix ans plus tard, les résultats de ce programme visant à contrecarrer la dégradation de l’environnement sont palpables et réjouissent plus d’un.
Des citoyens concernés ne s’expliquent pas pourquoi les deux principales artères de la ville débordent toujours d’immondices.