» Concilier le journalisme et la promotion de la protection de l’environnement est pour moi la meilleure façon d’être utile à mon pays déjà considéré comme l’un des plus vulnérables au monde sur le plan écologique »
» Concilier le journalisme et la promotion de la protection de l’environnement est pour moi la meilleure façon d’être utile à mon pays déjà considéré comme l’un des plus vulnérables au monde sur le plan écologique »
L’engagement signé par plus de 30 institutions financières couvrant plus de 8.700 milliards de dollars d’actifs mondiaux sous gestion vise à changer cette situation. Il vise à s’éloigner des portefeuilles qui investissent dans des chaînes d’approvisionnement de produits agricoles de base à haut risque de déforestation et à s’orienter vers une production durable.
Les ministres du climat et de l’énergie d’un groupe restreint de pays se sont réunis à Milan du 30 septembre au 2 octobre 2021, pour mieux comprendre comment résoudre certains des problèmes cruciaux qui subsistent, lors des discussions préalables à la COP 26.
Dans le cas d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C, les vagues de chaleur seront plus nombreuses, les saisons chaudes plus longues et les saisons froides plus courtes. Avec une hausse de 2 °C, les chaleurs extrêmes atteindraient plus souvent des seuils de tolérance critiques pour l’agriculture et la santé publique.
La macrofaune benthique, source alimentaire pour d’autres espèces animales, tels les poissons et les oiseaux, est anéantie et même détruite.
L’Amérique du Nord, l’Amérique centrale et les Caraïbes ont recensé 1.977 catastrophes, 74.839 morts et des pertes économiques s’élevant à 1.700 milliards de dollars.
Les estimations de la dernière évaluation de la charge mondiale de morbidité montrent que la mortalité mondiale est passée de 2,3 millions en 1990 (91% dus aux particules, 9% à l’ozone) à 4,5 millions en 2019 (92% dus aux particules, 8% à l’ozone), indique le Bulletin.