« Il nous faut avoir une force publique qui agit sur le terrain pour contrôler le bâti. Pour y arriver, la constance dans la gouvernance est recommandée ». La bidonvilisation n’est pas en soi une fatalité. « La fatalité, c’est de ne pas la gérer adéquatement ». L’aspiration à un cadre de vie de qualité doit nous conduire à la recherche d’une meilleure prise en compte de l’environnement, si l’Etat veut redessiner une nouvelle architecture de l’environnement et la réforme du cadastre en Haïti.