« Que les pays les moins avancés soient au cœur de nos projets, de nos priorités et de nos investissements », telle est la demande du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à l’ouverture de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5) de Doha, capitale du Qatar, le 5 mars 2023.
« Les pays les moins avancés ont besoin d’une révolution en matière de soutien à l’action climatique. Ils produisent moins de 4% des gaz à effet de serre dans le monde », a soutenu le patron des Nations unies estimant tragique le fait que près de sept décès sur dix attribués à des catastrophes climatiques se produisent dans ces pays.
« Les pays développés doivent accroître leur appui aux pays les moins avancés pour les aider à s’adapter, à renforcer leur résilience aux changements climatiques et à passer plus rapidement aux énergies renouvelables. Ils doivent honorer la promesse qu’ils ont faite de mobiliser 100 milliards de dollars en faveur des pays en développement et simplifier l’accès au financement de l’action climatique », a exigé António Guterres, d’un ton ferme, lors de son discours d’ouverture.
En outre, António Guterres a allongé sa liste de recommandations en exigeant aux pays riches de rendre opérationnel le fonds pour les pertes et dommages convenu à la dernière COP; honorer l’engagement de multiplier par deux le financement de l’adaptation; réalimenter le Fonds vert pour le climat à des niveaux plus ambitieux ; et enfin d’ici cinq ans, appuyer la création de systèmes d’alerte précoce pour chaque personne dans le monde.
« En septembre, je convoquerai un sommet sur l’ambition climatique, qui sera l’occasion pour les gouvernements, les entreprises et la société civile de passer de la parole aux actes sur les engagements de zéro émission nette et de garantir une justice climatique aux populations qui sont les premières touchées », a annoncé le Secrétaire général de l’ONU, M. Guterres.
« Je plaide également pour un Pacte de solidarité climatique, afin de mobiliser un soutien financier et technique pour accélérer la transition des économies émergentes vers les énergies renouvelables et de maintenir l’objectif de 1,5 degré en vie », a poursuivi M. Guterres.
« L’ère des promesses non tenues doit prendre fin – maintenant. Accordons aux besoins des pays les moins avancés la place qu’ils méritent: au cœur de nos projets, au cœur de nos priorités et au cœur de nos investissements. »
Sept décès sur dix attribués à des catastrophes climatiques se produisent dans les PMA
« Que les pays les moins avancés soient au cœur de nos projets, de nos priorités et de nos investissements », telle est la demande du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à l’ouverture de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5) de Doha, capitale du Qatar, le 5 mars 2023.
« Les pays les moins avancés ont besoin d’une révolution en matière de soutien à l’action climatique. Ils produisent moins de 4% des gaz à effet de serre dans le monde », a soutenu le patron des Nations unies estimant tragique le fait que près de sept décès sur dix attribués à des catastrophes climatiques se produisent dans ces pays.
« Les pays développés doivent accroître leur appui aux pays les moins avancés pour les aider à s’adapter, à renforcer leur résilience aux changements climatiques et à passer plus rapidement aux énergies renouvelables. Ils doivent honorer la promesse qu’ils ont faite de mobiliser 100 milliards de dollars en faveur des pays en développement et simplifier l’accès au financement de l’action climatique », a exigé António Guterres, d’un ton ferme, lors de son discours d’ouverture.
En outre, António Guterres a allongé sa liste de recommandations en exigeant aux pays riches de rendre opérationnel le fonds pour les pertes et dommages convenu à la dernière COP; honorer l’engagement de multiplier par deux le financement de l’adaptation; réalimenter le Fonds vert pour le climat à des niveaux plus ambitieux ; et enfin d’ici cinq ans, appuyer la création de systèmes d’alerte précoce pour chaque personne dans le monde.
« En septembre, je convoquerai un sommet sur l’ambition climatique, qui sera l’occasion pour les gouvernements, les entreprises et la société civile de passer des paroles aux actes sur les engagements de zéro émission nette et de garantir une justice climatique aux populations qui sont les premières touchées », a annoncé le Secrétaire général de l’ONU, M. Guterres.
« Je plaide également pour un Pacte de solidarité climatique, afin de mobiliser un soutien financier et technique pour accélérer la transition des économies émergentes vers les énergies renouvelables et de maintenir l’objectif de 1,5 degré en vie », a poursuivi M. Guterres.
« L’ère des promesses non tenues doit prendre fin – maintenant. Accordons aux besoins des pays les moins avancés la place qu’ils méritent: au cœur de nos projets, au cœur de nos priorités et au cœur de nos investissements. »