« La majorité de ces espèces endémiques sont en voie de disparition. La population locale les considère comme de mauvaises plantes à éliminer et à brûler. Elles sont abattues pour la fabrication du charbon de bois, et constituent l’une des principales activités économiques des habitants de la zone », alerte l’agronome William Cinéa, fondateur et directeur du département de recherches scientifiques et de conservation du Jardin botanique des cayes. Des espèces naturellement concentrées dans une zone géographiquement limitée.